La revue Passerelle Éco 83 est parue : 76 pages d’éco-alternatives et d’écologie pratique avec vos annonces et plusieurs dossiers thématiques : pédoépuration (épuration des eaux ménagères), survie, humusation, habitat réversible, écoHameau de Tadaima, financement d’un écolieu, aikido juridique, maraîchage sans fumier...
Parution d'un Ouvrage-Alternatives et Résistance
Offre : En Septembre 2017, le collectif ADRET annonce la sortie de son livre « MEME SI ON PENSE QUE C’EST FOUTU » qui sera disponible chez les éditions l’Harmattan.
RESUME DU LIVRE
Alors que la menace d’un désastre climatique se fait de plus en plus pressante et que l’économie mondialisée apparaît de plus en plus inéquitable, Adret donne la parole à des citoyens, collectifs et mouvements dont les initiatives esquissent une autre société. Face au fantasme de croissance infinie dans un monde fini, 16 entretiens témoignent que changer le système est l’affaire de tou(te)s.
Pauline et ses amis décident de devenir paysans en ville en élevant des moutons à Saint-Denis.
Olivier et les salariés d’une fabrique de thé, près de Marseille, résistent à la fermeture de leur usine qu’ils reprennent en coopérative.
Florencine, première femme à la tête de l’Organisation des Nations Autochtones de Guyane, poursuit l’Etat français contre la bio-piraterie.
Philippe milite pour le climat car « même si on pense que c’est foutu, agir est profondément juste. »
(4ème de couverture)
A PROPOS DU COLLECTIF ADRET
Le collectif Adret s’est formé il y a une quarantaine d’années autour d’une équipe de chercheurs du laboratoire de physique théorique de la faculté d’Orsay, dans le sillage des grandes crises pétrolières, du rapport du Club de Rome sur l’épuisement des ressources, de la mouvance écologiste naissante, de la remise en cause du progrès technoscientifique par des figures telles que le mathématicien Alexandre Grothendieck. Il ne semblait plus possible de continuer la recherche sans s’interroger sur la folie du productivisme et sur le devenir des sociétés.
Un premier livre édité au Seuil, Travailler deux heures par jour (1977) donnait la parole à des ouvriers à propos d’un partage radical du temps de travail ; en seconde partie, une étude quantitative montrait que l’utopie était possible. Ce livre, vendu à 100 000 exemplaires, a servi pendant plusieurs années de manuel pour comprendre l’économie contemporaine dans les classes de lycée.
A la suite des mouvements sociaux de 1995, Résister (Minuit, 1997) rassemblait les témoignages d’individus qui, face à la crise, refusaient de baisser les bras. « Un livre d’utilité publique », selon Le Progrès de Lyon (22 mars 1997). Puis, au moment du troisième rapport du GIEC sur le changement climatique qui coïncidait avec l’année des élections présidentielles en France, notre collectif interpellait dans Changement climatique : aubaine ou désastre (Cerf, 2007) des experts, des politiques et des candidats aux élections sur leur position par rapport à ce problème central pour l’humanité. Retour au thème du travail : sur fond de chômage persistant, nous invitions, dans La révolution des métiers verts (Autrement, 2012) des travailleurs de tous types à raconter comment l’économie verte redonnait du sens à leur travail et permettait de créer de nouveaux emplois.
Aujourd’hui, Adret compte une dizaine de membres : chercheurs, climatologues, sociologues, de la génération 1930 à la génération 1990.
Revue Passerelle Éco n°82 : 32 pages supplémentaires !
La revue Passerelle Éco n°82 est disponible. Avec les annonces des derniers mois, et un épais dossier sur le thème « Écolieux : les liens avec l’extérieur » incluant les témoignages de 15 écolieux. Le dossier permaculture et pratique porte quant à lui sur la construction d’une boisinière efficace et économe.
Comme cette revue comporte 32 pages supplémentaires, elle adopte un nouveau format avec dos carré : comme un livre. Mais les prix restent inchangés !
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